L’Olympique Lyonnais pensait avoir trouvé un nouveau taulier au milieu avec Tanner Tessmann. Aujourd’hui, le doute s’installe sérieusement autour de l’Américain, symbole d’un OL passé de l’euphorie à la panne sèche. Décisif en septembre, inquiétant en novembre, le milieu incarne le coup de frein brutal des hommes de Paulo Fonseca en Ligue 1.
Tessmann nous avait rassuré avec un début de saison très convaincant ponctué par deux buts importants face à Angers en championnat et Utrecht en Ligue Europa. Puis, trou noir. Depuis un mois, son jeu vers l’avant se délite : chaque tentative de passe verticale ressemble à une balle perdue, et sa justesse technique s’est évaporée au pire moment pour un OL déjà fragile dans la création. D’un leader de l’entrejeu, Tessmann est redevenu un milieu banal, trop neutre sans ballon, trop brouillon avec.
Ce décrochage individuel arrive au moment précis où la dynamique collective se casse. Après cinq victoires lors des six premières journées, l’OL n’a remporté qu’un seul de ses sept derniers matchs de Ligue 1. Le triste nul face à la lanterne rouge, l’AJ Auxerre, illustre ce gros coup de mou, où Tessmann symbolise l’OL qui ne joue plus “vers l’avant” mais “dans le doute”.
Paulo Fonseca voit son équipe glisser dangereusement après un début de saison emballant. Le technicien portugais s’inquiète déjà du niveau réel de son effectif et craint qu’une partie de ses joueurs ait été en surrégime lors des six premières journées, Tessmann en tête après sa “prise de pouvoir” express au milieu.
Devant, le tableau n’est guère plus rassurant. Martín Satriano, seul vrai numéro 9 de métier avec un minimum d'expérience, affiche des débuts catastrophiques avec l'OL, au point d’être ouvertement pointé du doigt pour son manque d’efficacité et son incapacité à faire oublier Lacazette ou Mikautadze ; ce qui en soi n'est pas étonnant. L’Uruguayen court toujours après son premier gros match en championnat, et son absence de réalisme pèse encore plus lourd quand le milieu, avec Tessmann en difficulté, ne compense plus.
Dans ce contexte, le nul à domicile face à Auxerre, bon dernier, sonne comme un avertissement : Lyon n’a plus de marge. Si Tessmann ne retrouve pas rapidement son volume de jeu, sa précision dans les transmissions et sa frappe longue distance qui a fait plier Utrecht et Angers, l’OL risque de voir sa belle promesse automnale se transformer en nouvelle saison galère, comme le redoutent plusieurs observateurs foot.
Tessmann nous avait rassuré avec un début de saison très convaincant ponctué par deux buts importants face à Angers en championnat et Utrecht en Ligue Europa. Puis, trou noir. Depuis un mois, son jeu vers l’avant se délite : chaque tentative de passe verticale ressemble à une balle perdue, et sa justesse technique s’est évaporée au pire moment pour un OL déjà fragile dans la création. D’un leader de l’entrejeu, Tessmann est redevenu un milieu banal, trop neutre sans ballon, trop brouillon avec.
Ce décrochage individuel arrive au moment précis où la dynamique collective se casse. Après cinq victoires lors des six premières journées, l’OL n’a remporté qu’un seul de ses sept derniers matchs de Ligue 1. Le triste nul face à la lanterne rouge, l’AJ Auxerre, illustre ce gros coup de mou, où Tessmann symbolise l’OL qui ne joue plus “vers l’avant” mais “dans le doute”.
Paulo Fonseca voit son équipe glisser dangereusement après un début de saison emballant. Le technicien portugais s’inquiète déjà du niveau réel de son effectif et craint qu’une partie de ses joueurs ait été en surrégime lors des six premières journées, Tessmann en tête après sa “prise de pouvoir” express au milieu.
Devant, le tableau n’est guère plus rassurant. Martín Satriano, seul vrai numéro 9 de métier avec un minimum d'expérience, affiche des débuts catastrophiques avec l'OL, au point d’être ouvertement pointé du doigt pour son manque d’efficacité et son incapacité à faire oublier Lacazette ou Mikautadze ; ce qui en soi n'est pas étonnant. L’Uruguayen court toujours après son premier gros match en championnat, et son absence de réalisme pèse encore plus lourd quand le milieu, avec Tessmann en difficulté, ne compense plus.
Dans ce contexte, le nul à domicile face à Auxerre, bon dernier, sonne comme un avertissement : Lyon n’a plus de marge. Si Tessmann ne retrouve pas rapidement son volume de jeu, sa précision dans les transmissions et sa frappe longue distance qui a fait plier Utrecht et Angers, l’OL risque de voir sa belle promesse automnale se transformer en nouvelle saison galère, comme le redoutent plusieurs observateurs foot.






